
Aperçu des antidouleurs
Quels antidouleurs de Johnson & Johnson Consumer SA sont les mieux adaptés à ma douleur? L'aperçu des antidouleurs peut vous aider.La douleur a de nombreux visages
Nous savons tous ce qu'est la douleur. Elle peut être vive et brève, ou persister plus longtemps, voire même devenir un état permanent. Dans la plupart des cas, la cause est claire, mais parfois on ignore ce qui la provoque. Mais pourquoi ressentons-nous de la douleur ?
La douleur : un signal d'avertissement de notre corps
En envoyant un signal de douleur, notre corps cherche à attirer l'attention sur des processus qui peuvent l’endommager. Par exemple, si nous posons par distraction la main sur un poêle brûlant, c'est la douleur qui nous incite à retirer la main immédiatement. Parfois, les sensations de douleur nous signalent le développement d'une maladie qui doit être traitée. La douleur est désagréable, mais elle a parfois aussi une importance vitale.Quelle est la cause de la douleur ?
La douleur est provoquée soit par des processus pathologiques (c'est-à-dire liés à des maladies) se déroulant à l'intérieur du corps, soit par des influences extérieures. L'expérience de la douleur peut être décrite en détail à l'aide d'un exemple... Reprenons le cas d’une brûlure :
- Les neurones détectent des stimuli qui causent de la douleur et les transforment en information concrète de douleur.
Lorsque nous nous brûlons, par exemple à une flamme, le corps fait rapidement intervenir des substances qui déclenchent le processus. Ces substances avertissent de petits « capteurs de lésion » (appelés nocicepteurs) à l'extrémité des nerfs. Des milliards de cellules nerveuses font en sorte que ce signal chimique de douleur soit transformé en impulsions électriques qui sont envoyées rapidement (à 108 km/heure) vers la moelle épinière et de là vers le cerveau. - La douleur est traitée en premier lieu dans la moelle épinière, donc les premières réactions sont des réflexes.
Sans que le cerveau intervienne, et en quelques millièmes de seconde, la moelle épinière envoie des missions aux muscles, glandes ou vaisseaux impliqués dans la « zone de crise ». Dans le cas de notre exemple, grâce à la douleur, nous avons le réflexe de retirer la main de la flamme. - Le cerveau évalue alors le message de douleur. C'est alors que vous commencez à avoir mal.
Dans la moelle épinière, les signaux de douleur sont à nouveau convertis en messagers chimiques. À partir du système nerveux central, les signaux atteignent le cerveau. Les diverses régions du cerveau – en particulier le thalamus et le cortex cérébral – analysent alors les signaux d'avertissement reçus, ce qui entraîne une perception et une évaluation consciente du signal de douleur. La douleur est à présent pleinement ressentie. La douleur est perçue différemment par chacun. La perception de la douleur dépend entre autres de l'humeur, de l'état de stress et de la tension. Certaines personnes parviennent à mieux commander leur perception de la douleur par la méditation ou par l'exercice conscient de la volonté. - Le corps réagit à la douleur et en garde le souvenir.
En règle générale, la douleur est associée à d'autres symptômes, comme une augmentation de la tension artérielle, une accélération du rythme cardiaque, une transpiration accrue et de l'anxiété. Les expériences de douleur sont apprises et stockées – cela peut conduire à ce que l'on appelle la « mémoire de la douleur » (voir plus loin).
Douleur aiguë ou chronique – une différence cruciale
- Douleur aiguë
Une douleur aiguë est un signal d'alarme donné par le corps et à ce titre, elle a une fonction cruciale. La douleur aiguë ne dure que quelques secondes, quelques minutes ou quelques jours. - Douleur chronique
Lorsque la douleur s'installe de manière persistante, elle perd sa fonction d'avertissement et devient une maladie en soi : on parle alors de douleur chronique. - Douleur récurrente
En plus de la douleur aiguë et chronique, il existe aussi des douleurs récurrentes. Il peut s'agir par exemple de crampes abdominales associées aux règles ou de crises de migraine.
Les formes de douleur les plus courantes
Le mal de tête est l'une des formes de douleur les plus répandues chez les adultes. Pas moins de un Belge sur cinq souffrent régulièrement de maux de tête. Les plus fréquents sont les «céphalées de tension», un type de mal de tête pouvant notamment être causé par le stress, l'alcool ou le manque de sommeil. Quant à la migraine, elle se caractérise par une douleur pulsatile paroxystique, qui s'accompagne souvent de nausées, de vomissements, ainsi que d'une sensibilité au bruit et à la lumière. D'autres formes courantes de douleur sont les douleurs liées à l’arthrite et les douleurs articulaires, les maux de dos, les douleurs menstruelles et les douleurs associées au rhume. Les enfants sont plus souvent malades et souffrent aussi plus fréquemment de fièvre.
Comprendre et traiter la douleur
Le traitement avec des médicaments en vente libre peut être un bon moyen de gérer la douleur légère à modérée. PERDOLAN® peut aider à réduire les symptômes aigus de la douleur afin de briser le cycle de la douleur.